mardi 9 novembre 2010

iTopTen

Certains le savent, beaucoup le savent, même... Depuis plusieurs semaines euh non, depuis plusieurs mois, j'envisage de m'acheter un iPhone.

L'investissement étant plus proche que jamais, je commence déjà à penser à un détail essentiel : quelles sont les applis à avoir ? Celles qui peuvent sauver la vie en deux clics, celles qui font la pluie et le beau temps, celles qui donnent les scoops avant même l'événement, celles qui...

N'ayant que moyennement envie de passer des heures parmi les 250 000 applications que compte l'Apple Store, je vous laisse partager vos 5 (ou 10)(ou 15) applications favorites, indispensables, préférées, celles dont vous ne vous passeriez pour rien au monde, qu'elles soient mondialement connues ou dénichées par hasard...


A vous !!


PS : je ne compte pas les jeux dans les applis, un autre iTopTen sera organisé spécialement :o)

jeudi 16 septembre 2010

Problème existentiel

Pouvoir à nouveau attacher ses cheveux, après presque 10 ans sans couettes/nattes/tresses, c'est assez cool.

Mais ça occasionne des troubles fondamentaux dès le matin : faire deux couettes égales, quand on ne voit pas ce qu'on fait, si les cheveux sont bien séparés, si elles sont bien à la même hauteur, tout ça...
Et ben c'est vraiment difficile et perturbant.




*c'était le post girly de l'année*

mercredi 11 août 2010

Fête des voisins, épisode 1.

En sortant du bus tout à l'heure je me suis dit qu'il fallait que je relève le courrier dans la boîte aux lettres familiales.

J'arrive chez moi, et, devant les boîtes aux lettres, je m'aperçois que 4 enveloppes avaient été coincées par le facteur, parce que ne correspondant à aucune boîte.

Je prends les enveloppes, et je les mets dans la boîte avec le nom correspondant, écrit sur un bout de papier scotché... Avant de me rendre compte que cette boîte était en fait la nôtre.


Les voisins, un bonheur de tous les instants.

samedi 10 juillet 2010

De l'air chaud dans les hauteurs

Le problème avec les mezzanines ou autres espaces en hauteur en intérieur, c'est que l'air chaud monte et y stagne. Il y stagne, longtemps, s'y réchauffe encore un peu, circule. Il se reproduit, l'air chaud.


Le bureau dans lequel je travaille est surnommé la Mezzanine. Pour cause, il est situé juste au-dessus de la librairie, on y accède par un escalier un peu caché.
Et cette Mezzanine n'a pas de plafond normal.
Non non, cette Mezzanine a une verrière.
Intégralement, une verrière.
Et pour seule fenêtre, il y a un petit hublot carré de 20cm sur 20.

Autant dire qu'avec les températures parisiennes, cette belle verrière joue le rôle adorable de serre, et nous cuisons doucement mais sûrement.


J'en suis à boire 3 litres d'eau par jour, et à bosser en lunettes de soleil.


Qui a dit vacances ?

vendredi 28 mai 2010

C'est la crise !!

Résumé des épisodes précédents...

Une grande décision, un vide soudain (et des amis pour combler tout ça), puis du stress estudiantin atténué par d'autres amis (par une autre amie, plus exactement), auquel s'est ajouté un stress salarial (merci à la petite Dodo pour les blagues, la musique, le reste).



Et là, comme s'il fallait un bouc émissaire, quelque chose pour déchaîner toute la colère et l'énervement et l'incompréhension et le ras-le-bol, là, il y a eu ce besoin de mini-révolution. Mini-révolution dont la première pierre a été posée ce soir, par un long et courageux mail. Mini-révolution qui n'a que trop attendu, mini-révolution qui a mis du temps à se faire accepter.


Attendons de voir comment les choses se mettent en place, comment les gens réagissent, comment tout se transforme sans faire de gros scandale.
Espérons en tout cas que quelque chose de bien sortira de tout ce bordel, que ma Ventoline et ma crème anti-eczéma restent au placard. Y'en a marre à la fin !!




dimanche 18 avril 2010

The Turtle's Warrior

J'avais parlé de Wisconsin il y a quelques temps. Je l'ai fini, depuis.
C'est un beau roman, un très beau roman américain.


Une communauté, une famille, puis un couple, et les personnages qui composent tout cela, et leurs voyages, erreurs, troubles. Une évolution lente mais inexorable, un changement contre lequel on se bat, un animal apeuré qui se fige, des instants fugaces ou rejoués en boucle, des non-dits trop bruyants, des cris intérieurs.


Il m'est rarement arrivé de pleurer à la lecture d'une œuvre. Wisconsin est une œuvre, une œuvre belle et tendre avec son histoire, douce et amère, banale et essentielle.

On se sent étrangement fort en lisant ces mots. Invicible, plus courageux que tout, résistant au quotidien gris, espérant une silhouette dans la brume, s'arrêtant un instant pour penser aux morts et aux vivants.
Peu importe les larmes matinales déclenchées par l'histoire de la famille Lucas et des Morrisson. Peu importe les larmes...



lundi 5 avril 2010

(un)Happy ending(s)

J'ai pris une grande décision, voilà bientôt une semaine.
Plus de larmes, plus d'angoisse, plus d'inquiétudes. Life's too short for these.
J'ai l'impression d'être en cure de désintox. Ça passera.


Parfois, je me dis que la vie serait vraiment vraiment marrante si l'on pouvait se mettre à chanter et danser pour une petite contrariété, une grande émotion, ce genre de choses.

Vivre une vie à la Demy, ou à la Glee, sans paillettes mais avec des belles robes, des petits talons qui font du bruit sur la scène, des couleurs de partout et de la joie. Ça serait vraiment pas mal !



Tink, danseuse au bout du monde, parle très bien de Glee (et d'autres choses jolies et colorées).